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Une approche possible de la causalité ou La parole n'est pas innocente
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par [Clara-Emilia ]

2025-06-03  |     | 



Les quatre types de causes identifiés par Aristote et repris par la physique et la métaphysique médiévales sont limités à deux¹ à partir du XVIIe siècle. Au XVIIIe siècle, avec David Hume, la causalité se réduit à la régularité avec laquelle un événement B succède à un événement A. La causalité n'est donc plus dans les événements eux-mêmes mais dans l'idée que l'on se fait du nombre de cas où l'ordre de succession de deux événements est le même. Les XIXe et XXe siècles sont marqués par l’échec ontologique du principe de causalité et par des tentatives constantes de le réhabiliter. Le concept de cause finale en particulier a été et continue d’être l’objet d’attaques virulentes, la plupart des philosophes et scientifiques accusant une illusion anthropomorphique à l’origine de cette notion. Bertrand Russell, pour qui l'appareil conceptuel de la causalité est dépassé et la finalité est davantage une croyance qui s'explique par le fait que, consciemment ou inconsciemment, nous assimilons les causes à des actes de volonté, est l'un des plus fervents critiques de ce principe.
L’inadéquation du concept de volonté pour décrire les processus naturels ne peut, bien sûr, être contestée. Cependant, le fait que le philosophe anglais n’attribue pas de finalité à ces processus qui conduisent à l’optimisation des caractéristiques des organismes par rapport à l’environnement est également une forme d’inadéquation.
Nous appelons volonté notre énergie psychique – une énergie qui consiste en un complexe d’énergies physiques. Quant aux « actes de volonté », ils sont commandés par les réactions positives ou négatives déclenchées par l’action de facteurs environnementaux, réactions qui s’expliquent par notre compatibilité ou incompatibilité avec ces facteurs. Or, on ne peut pas dire que l’incompatibilité et la compatibilité qui déclenchent ces réactions ne soient pas présentes partout dans la nature et que, partout dans la nature, elles ne soient pas suivies, à leur tour, d’actes qui, commandés de l’intérieur, sont l’expression des réactions et des changements qu’elles ont générés. L’acte n’est donc pas la cause du changement, mais la cause de la réaction qui a produit le changement. De cette façon, un changement qui se produit à un moment et à un endroit donnés est le résultat de la conjonction entre un acte temporel et une réaction locale. À son tour, la réaction qui a généré ce changement sera suivie d’un acte. Ainsi, commandé par une réaction positive ou négative, l'acte est toujours subjectif, tandis que la réaction, provoquée de l'extérieur, est toujours objective, dépendant de la nature de la chose sur laquelle on agit. J’estime par conséquent que l’appareil conceptuel de la causalité doit inclure la réaction, définie non pas comme un acte de sens opposé et qui, comme elle, est orienté vers l’extérieur. Déclenchée par la compatibilité ou l'incompatibilité d'un organisme avec l'action exercée sur lui par un facteur extérieur, la réaction en question est interne. L'acte qui suit cette réaction se produit dans les limites de la structure nouvellement créée et a pour but d’attirer ou repousser le facteur externe, selon que l’action de celui-ci a été compatible ou non avec l’organisme visé.
Dans ce qui suit, je vais essayer de visualiser, à l’aide d’un exemple, la différence entre acte et réaction, différence qui justifie l’introduction de la réaction dans l’appareil conceptuel de la causalité.
Imaginons que nous voulons tirer une flèche avec un arc. La force avec laquelle nous tirons la corde de l’arc est transférée à ses bras. En raison des propriétés des matériaux dont ils sont constitués, la corde et les bras de l'arc ont la capacité de stocker l'énergie provenant de la traction de la corde sous forme d'énergie élastique. Cette énergie tend l’arc et, au moment où nous relâchons la corde, l’énergie est convertie en force qui propulse la flèche.
En général, cette expérience implique un processus déclenché par ce que nous voulons faire et conclu par ce que nous avons pu ou non faire. L’intention qui sous-tend le processus confère à l’expérience son unité et la réalisation ou l’échec de l’intention définit l’expérience comme positive ou négative, détermine autrement dit sa valeur pour nous. À une autre échelle, cette expérience consiste en une succession d'actions comme, par exemple, placer la flèche sur la corde ou se concentrer sur la cible et ajuster la position de l'arc avant de relâcher la corde. Ces actions, qui consistent à leur tour en une succession d’actes, sont définies comme des unités dont la valeur est déterminée par le degré auquel l’intention qui les sous-tend est réalisée. En même temps, en tant que parties prenantes du processus que représente le lancement de la flèche, ils ont leur part de responsabilité dans l’achèvement de ce processus.
Toutes ces considérations très générales n'ont pas le pouvoir de réfuter ce qui a été dit précédemment, à savoir que la succession et, implicitement, l’antériorité de la cause par rapport à l'effet, ne résout pas tout en termes de causalité. Car, de même que l'apparition du jour n'est pas causée par la disparition de la nuit, de même que sur le chemin que j’emprunte pour aller au travail, mon premier pas n'est pas la cause du second, de même le placement de la flèche sur la corde de l'arc n'est pas la cause pour laquelle nous tendons la corde, ni la focalisation sur la cible la cause pour laquelle nous ajustons la position de l'arc. Les actions de sens opposées, comme celles entre nous et l'arc avec lequel nous voulons lancer la flèche, ne font également que se succéder. La simple interaction n’est donc pas pertinente. Et pourtant c’est de là qu’il faut partir. Une fois pour établir quel est le lien entre le réglage de la position de l'arc et la focalisation sur la cible, entre la focalisation sur la cible et le placement de la flèche sur la corde et, plus précisément, entre la cause et l'effet. Et encore une fois pour comprendre pourquoi nous savons ce que nous voulons faire et ce que nous avons fait, mais nous ne savons pas ce que nous faisons.
Nos actes sont enregistrés par la chose sur laquelle nous agissons, et nous enregistrons les actes que la chose exerce sur nous. En se référant à l’exemple ci-dessus, l’arc enregistre la traction que nous exerçons sur la corde, et nous enregistrons la tension de l’arc. En conséquence, l’effet que notre action a sur l’arc nous parvient en contre-temps, à travers l’action opposée que l’arc exerce sur nous. De même, l’effet que l’action de l’arc a sur nous lui parvient à travers l’action opposée que nous exerçons sur lui.
Dans ce cas, on peut se demander à quoi sert ce contre-temps, qui suppose l’existence d’un entre- temps. Entre temps, la réaction déclenchée par notre action a modifié les données de l’arc, faisant en sorte que l'action qu'il exerce ne soit pas relative à notre action, mais à l'état que sa réaction à notre action a généré. Entre temps, la réaction déclenchée par l’action que l’arc a exercée sur nous a fait que notre disponibilité à agir d’une manière plutôt que d’une autre ne dépende pas de l’action de l’arc mais de notre réaction à son action. Ainsi, selon que cette réaction est positive ou négative, notre disponibilité sera optimale, faible ou nulle. Dans le cas d'un arc, cette disponibilité sera optimale si l'arc a résisté à l'étirement nécessaire pour lancer la flèche et faible si l'arc s’est fissuré ou s’est cassé. Contrairement à ce que l'on croit et dit, la tension de l'arc n'est pas la réponse à la traction exercée sur lui, mais la réponse à la résistance qu'il a opposée à l'action de traction. De même, l’action que nous continuons d’exercer sur la corde de l’arc n’est pas la réponse à la tension de l’arc mais la réponse à son degré de tension par rapport au degré que nous jugeons nécessaire. Or, le fait que nous puissions évaluer ce qui reste à faire par rapport à ce que nous avons fait, le fait que, à chaque étape du processus que nous avons initié, nous ayons la mesure de l'énergie dont nous disposons pour achever le processus, est dû à la synthèse opérée par la réaction. Et cela parce que, contrairement à l’acte qui est par définition sélectif, la réaction est intégrative. En même temps, comme l’action qui la déclenche et qui consiste en une succession d’actes, la réaction consiste en une succession de réactions. La succession des actes indique la durée de l'action, qui est temporelle, la succession des réactions donne la mesure du changement, qui est locale. Et pourtant, nous enregistrons le changements local dans le temps et mesurons dans l’espace la durée qui est temporelle.
Dire qu'une chose est présente dans le temps et l'espace c’est dire qu'une chose est elle-même présente en acte et présente pour une autre chose à travers la réaction que son acte déclenche. La présence dans le temps et dans l’espace ne peut être conçue en dehors de la réaction complémentaire à l’acte. Le lien, chaque fois unique, entre un ici et un maintenant, et donc le phénomène de double présence, s'explique par la corrélation de l'acte temporel et de la réaction locale, de l'acte commandé par une réaction locale, intégrative, et de la réaction déclenchée par un acte temporel, sélectif. Ces deux principes soutiennent l’ensemble de l’édifice matériel.
***
Voyons maintenant pourquoi, sur le chemin que j'emprunte pour aller au travail, le premier pas n'est pas à l'origine du second, pourquoi le jour qui apparaȋt ne s'explique pas par la disparition de la nuit et pourquoi la focalisation sur la cible, par exemple, n'est pas la cause pour laquelle on ajuste la position de l'arc.
Je commencerai par supposer que mon lieu de travail est à quelques minutes de chez moi, ce qui me permet d’aller au travail à pied. Dans ce cas, je ne peux pas dire que moi qui fais le deuxième pas c’est moi qui ai fait le premier, que moi qui fais le troisième pas c’est moi qui ai fait le deuxième ou que moi qui arrive au travail c’est moi qui ai fait le 99ème pas. Et cela parce que moi qui arrive au travail ne suis pas moi qui ai fait le 99ème pas, mais moi qui ai fait 99 pas et qui fais maintenant le 100ème. De même, moi qui fais le troisième pas ne suis pas moi qui ai fait le deuxième, mais moi qui ai fait 2 pas et qui fais maintenant le troisième. Et, finalement, moi qui fais le deuxième pas ne suis pas moi qui ai fait le premier pas, mais moi qui ai fait 1 pas et qui fais maintenant le deuxième. Quant au premier pas, je le fais, car j'ai l'intention d’aller au travail.
Ce que l'on remarque dans la description de la séquence des 100 pas², et donc du trajet que je fais de la maison au travail, c'est l'alternance du présent avec le passé et des nombres ordinaux avec les nombres cardinaux. Le numéral ordinal, utilisé pour les pas que je fais, indique l'ordre de ces pas dans le sens de la marche, tandis que le numéral cardinal, utilisé pour les pas que j'ai faits, indique les pas dans leur ensemble. Ainsi, chaque pas est lui-même dans le sens de la marche et fait partie d'un tout dans le sens inverse de la marche, ce qui signifie que, dans le sens inverse de la marche, chaque pas est lié au précédent et, de proche en proche, au premier pas, qui est en liaison avec l'intention à l'origine de ces pas. Le passé marque le nombre de pas qui correspondent à chaque étape franchie et, de proche en proche, à la réalisation de l’intention. Le présent indique l'intention qui, après la modification apportée par chaque pas une fois franchi, revient à chaque pas qui reste à franchir. La parole n’est pas innocente.
Donc si nous savons ce que nous voulons faire et ce que nous avons fait, mais nous ne savons pas ce que nous faisons, si moi, par exemple, je peux dire que je suis arrivé au travail, ce qui implique que j'ai déjà fait les 100 pas, mais je ne peux pas dire que j'arrive au travail, ce qui est synonyme de dire que je fais maintenant le 100ème pas, c'est parce que ce n'est pas le pas que je fais qui m'informe que je l'ai fait, mais le contact avec le lieu sur lequel je marche. Plus précisément, c'est la réaction déclenchée au niveau de la plante du pied par l'action exercée par l'endroit où je marche qui m'a informé. Ainsi, ce que nous faisons dépend de nous, mais nous ne savons que ce que nous avons fait. De plus, nous savons ce que nous avons fait grâce au fait que ce que nous avons fait ne dépendait pas que de nous.
Les petits changements que notre moi subit au cours de nos actes ne sont pas non plus innocents, même si, dans le langage courant, nous y faisons peu référence. Par exemple, le fait que moi qui avais l'intention d'arriver au travail après avoir marché plus de la moitié du chemin, je ne sois plus la même que moi qui avais l'intention d'arriver au travail après avoir fait deux pas ne capte pas suffisamment mon attention pour en faire un sujet de discussion. Les choses sont différentes si, en chemin, je me suis arrêté pour parler à une vieille connaissance ou si j’ai trébuché et tombé. L’important est que ces événements, comme les appelle Donald Davidson, ne conduisent pas à un changement dans mon intention de me rendre au travail, ce qui serait synonyme de m’engager dans une autre action. Sous cette réserve, les changements plus ou moins grands que le moi subit ne font qu'un avec l'expérience du chemin parcouru et s'expliquent par ses réaction à l'action de divers facteurs environnementaux.

Avec la nuit qui s'en va et le jour qui arrive, le temps et l'espace terrestres croisent le temps et l'espace galactiques. On sait que ce phénomène cyclique s'explique par la rotation de la Terre autour de son propre axe, ce qui fait qu'une partie de la planète est plongée dans l'obscurité tandis que l'autre partie est exposée au Soleil. Que ce phénomène dépende non seulement de l'action de l'astre, mais aussi des données de la Terre, à savoir de la vitesse à laquelle elle tourne autour de son propre axe, de son inclinaison par rapport au Soleil, de son atmosphère, de sa composition, des conditions à sa surface est prouvé, d'une part, par la durée du jour qui, par exemple, sur Jupiter est de 10 heures, et sur Vénus de 116 jours terrestres, d'autre part, par la manière unique dont chaque planète, ainsi que chaque endroit de la planète, reçoit et distribue la lumière solaire. La distribution de la lumière solaire dépend plus précisément de la manière dont elle a été traitée dans la phase de réception, et donc de la manière dont les facteurs locaux ont réagi à son action.

Dans le cas de la focalisation sur la cible et du réglage de la position de l'arc, on ne peut pas dire que la première action est la cause de la seconde, toutes deux étant subordonnées à l'intention de lancer la flèche. Cependant, nous pouvons dire que l'image que la focalisation sur la cible nous a transmise a été la cause du réglage de la position de l'arc, d'autant plus que cette image ne s'explique pas seulement par la stimulation de l'œil par la lumière que la cible reflétait, mais aussi par le traitement et l'interprétation de ces stimuli par rapport aux données que nous avions à ce moment-là. Or, le traitement et l’interprétation des stimuli externes sont dus aux réactions qu’ils ont déclenchées en nous, des réactions qui sont en tant que telles purement internes.
Par conséquent, la réaction4 est celle qui récupère l’entre-temps entre les temps successifs, qui assure la connexion entre les actes et garantit l'unité de contenu d'une action ou d'un processus qui, à son tour, consiste en une succession d'actions.
En conclusion, ce n'est pas le déterminisme, mais l'indétermination heisenbergienne qui est compatible avec la relativité d'Einstein, car le changement qui, par suite de la conjonction entre un acte temporel et une réaction locale, se produit à un moment et à un endroit donnés, est à l'origine de l'acte qui succède à l'acte précédent, acte qui, à son tour, va déclencher simultanément une réaction. Cette réaction locale est le lien entre les actes temporels ; interne, elle est complémentaire de l'acte orienté vers l'extérieur, nécessaire, elle garantit la liberté d'action de toute chose en sa qualité d'agent. Avec la mention qu'une chose dont la réaction n'a pas été plus ou moins positive, mais absolument négative, perd sa qualité d'agent. Un arc cassé, par exemple, ne peut plus faire office d’arc.

Bibliographie

Davidson, Donald, 1993, Actions et Événements, Paris, Presses universitaires de France.
Hume, David, 1947, Enquête sur l’entendement humain, Paris, GF Flammarion.
Husserl Edmund, 2003, Sur la phénoménologie de la conscience intime du temps, Grenoble, Éditions Jérôme Million.
Rovelli, Carlo, 2015, Sept brèves leçons de physique, Paris, Odile Jacob.
Russell, Bertrand, 2001, The problems of philosophy, Oxford, University Press.

Notes de bas de page

¹ Pour expliquer pourquoi quelque chose existe ou pourquoi un phénomène se produit, Aristote développe la théorie des quatre causes : la cause matérielle, la cause formelle, la cause efficiente et la cause finale. La cause matérielle d'une statue, par exemple, est le bronze dans lequel elle est sculptée, la cause formelle, le modèle d'après lequel elle a été sculptée, la cause efficiente, le sculpteur qui l'a créée, la cause finale, le but pour lequel il l'a créée. À partir de la Renaissance, et donc avec le triomphe de la science moderne, la cause formelle et la cause finale sont abandonnées.
²Le philosophe allemand Edmund Husserl s’est demandé comment nous en venons à percevoir une mélodie, comme « un objet distribué dans le temps », comme un tout plutôt que comme une succession de notes indépendantes. En ce sens, outre la perception du son présent définie comme l'impression primordiale, il a introduit la notion de rétention, qui permet la préservation des sons antérieurs, et la notion de protention, qui anticipe les nouveaux sons. Ces trois moments assurent la cohérence et l’unité de la mélodie. La réception, selon Husserl, n’est pas passive, ce qui semble tout à fait vrai. L’intentionnalité n’est cependant pas un attribut de la réception, mais est générée par celle-ci.
Le philosophe américain Donald Davidson a construit une théorie causale de l’action humaine qui repose sur deux idées majeures : l’identité des événements mentaux avec les événements physiques et la distinction entre les actions intentionnelles et les événements indépendants de toute intention. Par exemple, lever le bras pour saluer quelqu'un est une action intentionnelle, provoquée par le désir de saluer quelqu'un, tandis qu'une rafale de vent faisant bouger une branche d'arbre est un événement qui se produit sans intention. Il faut dire cependant que tant la rafale de vent que le mouvement de la branche d’arbre sont des actions. La branche d’arbre mise en mouvement par la rafale de vent n’est un événement que dans notre représentation et, en tant que telle, n’est pas intentionnelle. Quant à la branche de l'arbre, elle se déplace plus ou moins vite, et peut même se casser, selon la résistance qu'elle offre au vent, une résistance qui, à son tour, dépend de la force avec laquelle le vent souffle, mais aussi du degré d'élasticité de la branche de l'arbre.
4La réaction en question est la réaction qui induit un état, et donc la réaction interne et non la réaction en tant qu’action de sens opposé. La différence entre la vue d’une chose, qui est interne, et le regard porté sur cette chose-là, qui est orienté vers l’extérieur, est édifiante en ce sens. Il semble que la relation intérieur-extérieur n’ait pas encore livré tous ses secrets.



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