Les commentaires des membres:

 =  le simorgh
Yadine Aziz
[28.Nov.04 05:03]
la légende persane du simorgh. Il y est question d’un voyage périlleux que les oiseaux entreprennent pour aller à la recherche du simorgh, oiseau fabuleux qu’ils veulent prendre pour roi. Presque tous meurent en cours de route, seuls trente d’entre eux arrivent au bout. Lorsqu’ils se présentent devant le simorgh (en persan le mot signifie également trente oiseaux), ils se voient en lui. Ils sont le simorgh, et le simorgh est trente oiseaux.

 =  je suppose !
Yadine Aziz
[28.Nov.04 05:20]
Vous voyagez avec le son dans une abysse du son. Ce "qui" c'est vous qui s'aventure dans "la balustrade du vide" et la ligne de la piste enveloppée. C'est une grande interrogation "l'ellipse du son" car le voile est opaque et agitateur. Il y a un magnétisme captivant dans ton poème Marlena !

 =  Métamorphose
felipe, Da Islanera
[29.Nov.04 17:49]


«Dans l’océan du nord se trouve un poisson… Ce poisson se change en oiseau… C’est au temps des grandes marées que l’oiseau part vers l’océan du sud. »

Tchouang-tseu

...Un halo d'air vibrant... qui rapproche d'un poète occitan:

"Les mots sont la couleur des choses"

L'écriture poétique est (parfois) également une tentation du vide, jusqu'au vertige du blanc (ce silence)[mallarméen?]
-Comment tenter le vide sans attenter à soi-même, jusqu'aux chutes- les cosses du vide...







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