Les commentaires des membres:

 =  Remerciements
Nicole Pottier
[26.Nov.04 14:58]
J'adresse de chaleureux remerciements à Aurelia, et à Marinela, toutes deux de la diaspora française, l'une pour avoir passé l'annonce, et l'autre pour m'avoir procuré l'enregistrement de l'émission. J'ai ainsi pu réaliser cet article.
Je remercie également très chaleureusement Mariana Luta, assitante culturelle du CCF de Iasi, pour son concours et ses photos du tournage , ainsi que Marlena Braester pour son témoignage et sa très grande gentillesse.

 =  La ville du coeur
Maria Prochipiuc
[03.Dec.04 12:53]


Iaşi n’appartient pas seulement aa ses habitants. Il a la chance assez rare et difficillement acquise d’ etre a tous. Elle est non seulement la cite metaphzsique des cloches, des collines, des monuments, des indicibles couchers de soleil, mais aussi, peut-etre, la ville au plus grand nombre de musees et de poetes par habitant du Sud-est de l’Europe.

Le fait meme de vivre a Iaşi est un privilege aussi par ce qui n’existe plus que dans notre memoire: Le Grand Teatre de Copou, La Cour princiere, l’Academie.

Depeint dans de nombteuses estampes, representant de diverses hipostases, la vill reste la conscience du monde, par l’inspiration d’innombrables voyageurs etrangers qu’en 1647, l’infatigable Bandini est amene a la comparer a une ``nouvelle Rome``.

C’est a Iasi que la revolution roumaine de 1848 a ete declenchee en couvrant, par la suite, tout le territoire habite par les roumains.

La periode de la Junimea de Iasi est la plus fertile de l’histoire de la literature nationale.

La diversite des formes, des decorations, `` art nouveau`` et style `` neo/roumain`` s`entremelent dans une sythese particuliere, expressive. A la fin de la deuzieme guerre mondiale, la ville semblait etre un ``poeme fini``, ``une borne de frontiere``.




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