| = quelques sonorités rimbaldiennes « enracinés dans la lumière », comme une ode à | Roland REUMOND [21.Jul.16 20:45] |
| Merci pour ces sept petites lignes inspirées de « haut vent ». C’est l’esprit « de la haute mer » qui comme un souffleur au théâtre, souffle les mots qui manquent; car le vent connaît tous les mots de l’âme ! Alors, dans les voiles de l’inspiration, les poètes ne peuvent qu’aller en "haute mer" et en eau profonde, là où les mots glissent comme des « navires », alors que les pages (plages) disparaissent l’une après l’autre dans « les embruns des voyelles » qui disent l’essentiel et chantent la vie, avec quelques sonorités rimbaldiennes « enracinés dans la lumière », comme une ode à la mer. | |