Les commentaires des membres:

 =  Ce n’est pas facile…
Maria Gheorghe
[31.Jul.15 04:16]
le peu de certitude « acquise » est renversée par un si ou sinon, sauf et d’autres, qui nous mènent au doute / question suprême : quelle est la vérité? qu’est-ce que c’est la vérité, si ce n’est pas elle aussi une pénitence, suite à l’apprentissage depuis notre arrivée dans cette "fantaisie" dont nous ne connaissons pas le "coupable"... notre propre imagination donne vie aux concepts dont le cœur est au doute à chaque battement.

Tout au long de la chaîne, il manque un anneau (remplacé par le grand mystère) à un endroit (intérieur ou extérieur) tenu secret par un petit détail qui, pour un instant perpétuel, nous échappe.

Ton existence de la réalité extérieure offre généreusement une grande ouverture, dans le sens où chacun peut bien choisir ce qui lui va pour renforcer son doute, sa certitude, sa soif de mener la réflexion là où l’imagination lui fait chemin...

(...) l’imagination sous sa forme la plus pure, c’est l’art de donner vie à ce qui n’existe pas, de persuader les autres d’accepter un monde qui n’est pas vraiment là (...) (Paul Auster)

Félicitations, Emilia!
Maria

 =  En quelque sorte
Dolcu Emilia
[03.Aug.15 00:14]
n quelque sorte, on est tous à la recherche d’un chaînon qui manque et qui donne sens aux chaînons en place.
Moi, ce qui m’a toujours intrigué c’est qu’on accorde à la connaissance un statut de choix et qu’on déplore en même temps les limites de notre faculté de connaîțre.
J’aimerais pouvoir un jour démontrer que le connaître est tout simplement la contrepartie de l’être, qu’il est ce par quoi l’être devient, et que, pour cette raison, la connaissance a toujours sa part d’ombre, que la vérité est toujours une vérité incarnée. Cela a propos de doute, de certitude, de mystère.
Merci pour la lecture, Maria, et bonne chance dans ton travail,
Emilia




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