Les commentaires des membres:

 =  ...
Dolcu Emilia
[13.Oct.12 20:30]
Mets:
- „dans la tentation” au lieu de „en tentation” étant donné qu’en tentation peut signifier ici en tant que tentation
- „mon corps en sent le goût” au lieu de „mon corps sent le goût”
- „il ne me faut/ pas trop (ou longtemps) pour lui trouver un maître” au lieu de „il ne me faut/ trop de lui trouver un maître”
- „quelle carte suivre” au lieu de quelle carte à suivre

Je propose aussi „les racines de quelques pluies de collection” au lieu de „les racines de des pluies de collection”


 =  j'ai
Ottilia Ardeleanu
[13.Oct.12 22:22]
fait les changements, merci pour votre aide, madame Emilia Dolcu.

reconnaissante,
Ottilia

 =  « Quelle carte suivre pour ne pas mourir ? »
Roland REUMOND
[14.Oct.12 22:18]
Les mots eux-mêmes s’habillent d’un voile de métaphores qui embrouillent nos idées et nos regards. Un poème est comme une carte, mais la carte n’est pas le territoire et la raison a ses chemins que la raison ne connait pas !

« Quelle carte suivre pour ne pas mourir ? » , relève l’auteur. « Il n’y a plus de destinations », seulement la trace, « des destinataires », des images de « leurs visages » tournés vers elle comme des souvenirs qui la tournent vers le passé.

Pour Ottilia Ardeleanu, ce chemin de « soi » semble passer par l’alchimie de l’amour et des émotions, par l’entremise de l’alambic des mots, des mots qui ont cette capacité, ce pouvoir, de transformer « dans la tentation de la vertu », « des lèvres d’étain fondu » en effet de style, et le plomb « bizarre et obsessionnel du temps » en or d’éternité.

Des effets « à liquéfier des pensées », des pensées qu’il nous reste à décrypter comme l’énigme d’un Sphinx. Dans les profondeurs de soi, par l’athanor du langage. C’est comme une turbulence « du soleil qui se lève à son aise » comme pour éclairer notre part d’ombre. C’est ce « goût des coquelicots », cette « odeur d’un tableau d’art », cette femme qui écrit sur le chemin de soi, entre les mots, les lignes, le « baiser reste sage », car il le faut !


 =  monsieur
Ottilia Ardeleanu
[14.Oct.12 23:56]
Roland Reumond, je suis heureuse de votre visite dans cette page et je vous en remercie beaucoup.
c'est seulement le merite de l'auteur roumain, Dan-Petruț Cămui, dont les mots "s’habillent de voiles qui embrouillent nos regards...".

mes hommages,

Ottilia Ardeleanu




Les commentaires anonymes ne sont pas permis!
Pour écrire des commentaires
tu dois posséder un compte et t?y IDENTIFIER!


Retour !


Warning: Unknown: write failed: No space left on device (28) in Unknown on line 0

Warning: Unknown: Failed to write session data (files). Please verify that the current setting of session.save_path is correct (/var/www/dynamic/-agonia.v3-2/www/tmp) in Unknown on line 0