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= Sortir définivement la conscience de la tête de l'homme
Roland REUMOND
[06.Nov.24 18:55]

Ce n’est qu’en sortant définitivement « la Conscience » de la tête et du cœur de l’homme, qu’elle recouvrira sa véritable et réelle dimension. L’accès au Réel en dépend !

C’est-à-dire que ce n’est en arrêtant de nier et de dénier toutes les illusions de la connaissance et celles de nos croyances et hypothèses les plus erronées que nous pourrons aller vers plus de vérité, comme en psychologie, que nous ouvrirons d'autres portes.

Comme les « théories du complot », les hypothèses religieuses et les théories scientifiques, pourtant vérifiées, confirmées… Peuvent malgré tout nous induire à l’erreur et nous réduire à l’inconnaissance au point de condamner ou même de brûler de nouveau Galilée, Darwin et autres.

Tant que l’homo sapiens est lui-même brûlé par ses inquiétudes existentielles et hanté par ses propres angoisses, il continuera à brûler d’une manière ou d’une autre (comme d’une matière ou d’une autre) tous les explorateurs du visible et de l’invisible qui lui semblent remettre en question ses certitudes de carton-pâte et de papier mâché.

Tout « ça » comme dirait Sigmund, pour de nouveaux enjeux, non plus théologiques au sens propre, mais politiques, financiers, économiques ou idéologiques … C’est-à-dire pour de nouvelles religions dont il se fait le grand prêtre ; de nouvelles croyances, avec leurs multiples rituels, leurs idoles et nouvelles icônes ; s’engageant corps et âme pour de nouvelles formes d’inquisitions, de nouvelles formes de croisades et de guerres devenues saintes ou saines, pour Le meilleur des mondes, et le bien-être de chacun et l’illusion de tous.

Tout « ça » pour un seul pour cent d’apparences dérisoires et éhontées, dont il a fait sa vie, ou plutôt son existence captative et concupiscente, depuis la nuit des temps ; au détriment des choses que le dépassent, comme tout ce qui lui est invisible, comme ces 99 % de vide pleins d’information que révèle la physique moderne.

C’est en raison de ce sentiment de suprématie des homos sapiens sur la Nature et le reste de la création, que « nous implosons » et ne cessons d’imploser.

Et c’est à cause de cette propension à faire des apparences tangibles la seule réalité et la seule vérité que nous implosons sans cesse, depuis « l’antique idée » que l’homo sapiens se fait de l’homme, du pouvoir et du savoir.
Et c’est encore pourquoi, nous assistons impuissant, à cette course au progrès et à la technologie, parce que c’est du « visible », visible d’une manière outrancière.

En raison de ces multiples biais existentiels, et d’un cerveau qui se mord la queue, nos perceptions et nos représentations homo-sapiennes sont semble-t-il, de plus en plus altérées et altérantes.

L’homo sapiens, à la différence du mythe platonicien, n’est pas seulement prisonnier de ses ombres au sens jungien du terme, mais davantage l’otage de ses propres lumières, comme on fait des nœuds de neurones et de nouveaux problèmes avec nos solutions.

Et c’est là justement, qu’en sortant définitivement « la conscience » de la grotte de l’homme, de sa topologie crânienne et de sa dimension locale et linéaire, que l’on fermera définitivement la boîte de Pandore.
Plus qu’une simple transposition, c’est en extrapolant ladite « Conscience » en dehors, c’est-à-dire plus encore « au-dedans » de toute matière, comme en dehors toute dimension locale et linéaire, que l’on fermera définitivement la boîte de pandore.

Il en est ainsi d’une conscience que l’on imagine celle d’un cerveau, qui en définitive, ne cesse de nous mener en bateau. Et il en est ainsi de tous les systèmes fermés, de tous les « systèmes implosifs, » comme celui de toutes les structures dogmatisantes qui se ferment sur elles-mêmes, comme pour résister, mais qui, pour finir, périssent par étouffement.

En sortant cette fameuse Conscience de la tête et du cœur de l’homme, pour lui redonner sa véritable et réelle dimension, à l’image de ce qui n’est qu’une extraordinaire « explosion lexicale » chez l’enfant, pourrait s’avérer être un nouveau et authentique Big bang originel chez nous tous, car en sortant, une fois pour toutes, la « Conscience » de notre boîte crânienne nous ouvrons de tous nouveaux horizons linguistiques et sémantiques, avec un autre éclairage, et un tout autre regard sur la relation entre le langage, les êtres et toute chose, à un tout autre niveau … De Conscience.

Comme passant dans un total renouveau, d’une conscience égocentrée et égocentrique à une conscience holistique, cosmique ou quantique ; tout comme nous sommes passés en son temps, avec beaucoup de crispations, d’une perception géocentrique à une vision héliocentrique.

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= Sortir définivement la conscience de la tête de l'homme	Roland REUMOND [06.Nov.24 18:55]
Ce n’est qu’en sortant définitivement « la Conscience » de la tête et du cœur de l’homme, qu’elle recouvrira sa véritable et réelle dimension. L’accès au Réel en dépend ! C’est-à-dire que ce n’est en arrêtant de nier et de dénier toutes les illusions de la connaissance et celles de nos croyances et hypothèses les plus erronées que nous pourrons aller vers plus de vérité, comme en psychologie, que nous ouvrirons d'autres portes. Comme les « théories du complot », les hypothèses religieuses et les théories scientifiques, pourtant vérifiées, confirmées… Peuvent malgré tout nous induire à l’erreur et nous réduire à l’inconnaissance au point de condamner ou même de brûler de nouveau Galilée, Darwin et autres. Tant que l’homo sapiens est lui-même brûlé par ses inquiétudes existentielles et hanté par ses propres angoisses, il continuera à brûler d’une manière ou d’une autre (comme d’une matière ou d’une autre) tous les explorateurs du visible et de l’invisible qui lui semblent remettre en question ses certitudes de carton-pâte et de papier mâché. Tout « ça » comme dirait Sigmund, pour de nouveaux enjeux, non plus théologiques au sens propre, mais politiques, financiers, économiques ou idéologiques … C’est-à-dire pour de nouvelles religions dont il se fait le grand prêtre ; de nouvelles croyances, avec leurs multiples rituels, leurs idoles et nouvelles icônes ; s’engageant corps et âme pour de nouvelles formes d’inquisitions, de nouvelles formes de croisades et de guerres devenues saintes ou saines, pour Le meilleur des mondes, et le bien-être de chacun et l’illusion de tous. Tout « ça » pour un seul pour cent d’apparences dérisoires et éhontées, dont il a fait sa vie, ou plutôt son existence captative et concupiscente, depuis la nuit des temps ; au détriment des choses que le dépassent, comme tout ce qui lui est invisible, comme ces 99 % de vide pleins d’information que révèle la physique moderne. C’est en raison de ce sentiment de suprématie des homos sapiens sur la Nature et le reste de la création, que « nous implosons » et ne cessons d’imploser. Et c’est à cause de cette propension à faire des apparences tangibles la seule réalité et la seule vérité que nous implosons sans cesse, depuis « l’antique idée » que l’homo sapiens se fait de l’homme, du pouvoir et du savoir. Et c’est encore pourquoi, nous assistons impuissant, à cette course au progrès et à la technologie, parce que c’est du « visible », visible d’une manière outrancière. En raison de ces multiples biais existentiels, et d’un cerveau qui se mord la queue, nos perceptions et nos représentations homo-sapiennes sont semble-t-il, de plus en plus altérées et altérantes. L’homo sapiens, à la différence du mythe platonicien, n’est pas seulement prisonnier de ses ombres au sens jungien du terme, mais davantage l’otage de ses propres lumières, comme on fait des nœuds de neurones et de nouveaux problèmes avec nos solutions. Et c’est là justement, qu’en sortant définitivement « la conscience » de la grotte de l’homme, de sa topologie crânienne et de sa dimension locale et linéaire, que l’on fermera définitivement la boîte de Pandore. Plus qu’une simple transposition, c’est en extrapolant ladite « Conscience » en dehors, c’est-à-dire plus encore « au-dedans » de toute matière, comme en dehors toute dimension locale et linéaire, que l’on fermera définitivement la boîte de pandore. Il en est ainsi d’une conscience que l’on imagine celle d’un cerveau, qui en définitive, ne cesse de nous mener en bateau. Et il en est ainsi de tous les systèmes fermés, de tous les « systèmes implosifs, » comme celui de toutes les structures dogmatisantes qui se ferment sur elles-mêmes, comme pour résister, mais qui, pour finir, périssent par étouffement. En sortant cette fameuse Conscience de la tête et du cœur de l’homme, pour lui redonner sa véritable et réelle dimension, à l’image de ce qui n’est qu’une extraordinaire « explosion lexicale » chez l’enfant, pourrait s’avérer être un nouveau et authentique Big bang originel chez nous tous, car en sortant, une fois pour toutes, la « Conscience » de notre boîte crânienne nous ouvrons de tous nouveaux horizons linguistiques et sémantiques, avec un autre éclairage, et un tout autre regard sur la relation entre le langage, les êtres et toute chose, à un tout autre niveau … De Conscience. Comme passant dans un total renouveau, d’une conscience égocentrée et égocentrique à une conscience holistique, cosmique ou quantique ; tout comme nous sommes passés en son temps, avec beaucoup de crispations, d’une perception géocentrique à une vision héliocentrique.