| + ... | Dolcu Emilia [13.Apr.11 20:33] |
| Il y a une magie dans ce poème que la traduction ne trahit pas. C’est vrai, je n’aurais pas hésité à traduire « târziul s-a lăsat aşteptat de prea târziu” par “le tard s’est fait attendre par le trop tard”, mais l’absence d’hésitation, dans mon cas, n’est pas bon signe. | |
| = Emilia, | Maria Gheorghe [14.Apr.11 02:02] |
| le poème est bien protégé par le miroir couvert de mystères... (je penche quand-même vers le miroir aux mystères – qu’en penses-tu ?) toi, tu n’aurais pas hésité... moi, oui! c’est exactement le dilemme que j’ai courtisé... mais il y en avait aussi un autre: sur le tard s’est fait attendre trop tard... (mais, quand il le rejoindra, il se laissera caresser...) la poésie a un don inespéré: elle se laisse effleurée par les cinq sens, mais surtout par l’unité imaginaire i et par notre état d’esprit au moment x... je forcerai un peu le sort des deux adverbes (tard et trop tard) pour qu’ils deviennent des noms... et, comme ça, mon dilemme est un bon signe, parce qu’il n’a pas retardé de venir à la rencontre d’une absence inconditionnelle, ton hésitation... pour moi s’est avérée comme un bon signe aussi... merci, Emilia maria | |
| = le miroir | Dolcu Emilia [14.Apr.11 10:44] |
| Je suis pour « le miroir aux mystères », Maria. En lisant ton poème, j’ai pensé même au « miroir à mystères ». Bonne continuation ! | |
| = à | Maria Gheorghe [14.Apr.11 19:11] |
| à, je le trouve bien plus mystérieux... si tu en as d'autres... petits détails, n'hésite pas. merci, Emilia | |
| = les bras pleins de nuit | Daniel Laplante [26.Jul.11 18:56] |
| Merci ces magnifiques vers. Le poème est mémorable dans son ensemble, mais je me souviendrai longtemps, en particulier, des « bras pleins de nuit » et du «[présent grand absent]/ près de la statue gravie par le lierre » | |
| = erreur - mes excuses | Daniel Laplante [26.Jul.11 18:58] |
| Merci « pour » ces | |