+ La sève | Nicole Pottier [10.May.05 11:07] |
C'est la sève qui fait pousser l'arbre, le fait fleurir et le rend verdoyant. Image de force et d'abondance, la vie au seuil de ce matin éternel te conduit dans ce monde qui te porte en lui, tout comme tu le portes en toi, dans ces mille éclats de sensations multicolores, multi sonores et tactiles, qui t'absorbent et te transforment, poussière et nostalgie. Alchimie du Verbe, Logos intemporel en ce crépuscule où "tout" redevient dans l'Unité paisible et apaisée...une respiration dans l'univers. J'ai aimé "les caresses sur ma peau en fête" glissant doucement vers une "page d'empreintes crépusculaires". :) | |
= empreinte | lucia sotirova [10.May.05 11:38] |
mais je suis un glacier couvert de jonquilles et ma peau est de glace... :) d'ailleurs la pluie a cessé et le soleil brille ! oui, les empreintes crépusculaires de la vie et de la poésie sont là... même le matin. "Ce monde de rosée n'est qu'un monde de rosée - mais tout de même..." (Issa) merci pour ta parole solaire, nic ! | |
= poussiere nostalgique | marlena braester [11.May.05 12:37] |
la rencontre des contraires est rafraichissante: les cierges des marronniers sous la pluie, fontes de neiges, forets verdoyantes, le chemin de personne, le glacier couvert de jonquilles, enterrer les nuages. Mais, en fin de compte la poussiere, la poussiere... | |
= Échantillon fin de douleur | Edilberto González Trejos [20.May.05 06:04] |
Poème dans lequel je trouve la blessure profonde dans le coeur de la poètesse et l'élément naturel que tu utilises me met face à ton talent fin. SONGO | |
= Andrade | Lisette Giroux [21.May.05 04:48] |
Mon Dieu, que pourrais-je rajouter à tous ces commentaires que j'endosse. J'ai vibré entre autres `: sur le chemin de personne et le morceau de poème que j'écris enterre les nuages, remplit la page d'empreintes crépusculaires que nul ne saura déchiffrer... Merci pour ce beau moment de poésie. | |