Les commentaires des membres:

+ "les syllabes transparentes se sont tues"	Nicole Pottier [02.Feb.05 11:42]
La fin de la moisson, l'après-récolte qui laisse ces paysages un peu déserts, dans l'attente d'être à nouveau ensemencés. Un adieu à une période de la vie, une saison de l'être... la dernière strophe est superbe !
=  nicole	lucia sotirova [02.Feb.05 13:30]
merci d'avoir signé et apprécié mon ... absence de chant ! révérences poétiques à toi ! le fauve te remercie aussi... :)
=  :-)	lucia sotirova [02.Feb.05 13:33]
oui, ma main attend les semailles
=  Tableau	Nicole Pottier [02.Feb.05 15:03]
Eh, oui, Lucia, j'ai senti une note d'espoir dans ce texte, une attente. Une renaissance. Car jamais rien ne meurt ... et voici l'image que je cherchais dans ce poème - tableau que tu nous offres : Les glaneuses, Jean-François Millet.
=  nic, encore révérences !	lucia sotirova [02.Feb.05 19:13]
quelle surprise ! tu m'as fait un cadeau ! mille remerciements ! je plaisante pour l'espoir... la main de la nature écrira à ma place. les lapins et la faux dans les hautes herbes + une coccinelle, peut-être... :-) (je me demande où dois-je inserer le code - sur le commentaire même? les images sont dans mon ordinateur, sur le desk top)
+ effeuillage de la nature !	Yadine Aziz [04.Feb.05 04:00]
le poème met en relief l'expérience de la nudité, de l'absence du chant et du dédoublement de l'être. Et l'isolement crée un poème qui écarte le réel perçu pour réespacer la place pour le vide et l'incorporation ! mais "dans les hautes arbres" fascine par ces métaphores !
=  merci aziz	lucia sotirova [04.Feb.05 11:06]
mon texte ne mérite pas une deuxième étoile - tu peux me visiter sanc click sur + :-) oui, la nature écrit les plus beaux poèmes dans son grand et inépuisable livre... je suis une fille de montagne et je me souviens toujours la fenaison, l'odeur du foin coupé et le sifflement de la faux dans les herbes... c'est un baume pour mon âme...
=  ...	lucia sotirova [04.Feb.05 11:09]
sans
=  rien ne se perd...	chrisNJOYA [08.Feb.05 18:13]
l'herbe recouvre la terre, la terre cache les racines les racines ne sont jamais perdus, les saisons continuent de passer sans les ébranler.