= Bleu comme l'univers | Nicole Pottier [11.Jan.05 21:25] |
L'univers de ce "bleu irrémédiable",où prend naissance ce poème, se retrouve en opposition avec le recoin obscur et asphixié de l'entourage immédiat et limité. Ce poème est tel un tableau qui déborde son propre cadre réel, comme une déchirure dans le langage des poètes. L'albatros et ses ailes de géant qui se fracassent... | |
+ superlatif | lucia sotirova [12.Jan.05 11:13] |
"Parfois quelqu’un parle de poésie, de mondes étranges et je ne sais pas quoi dire.": "Num retomar constante e abandono os poemas podem ser assim ou de outro modo até o infinito..." (Armenio Vieira) "Dans une reprise permanente et un abandon/ Les poèmes peuvent être ainsi ou autrement/ jusqu'à l'infini..." (Armenio Vieira) -tu abordes l'écriture avec une facilité de magicien: "Je fais une grande lessive de mots et d’eau claire, des gestes de rivières." -tes récits poétiques jouent à la cachette avec le lecteur, mais dans la poésie “Tous les chemins mènent à Rome sauf le plus petit qui va tout droit au Paradis !” (Patrick Losson) -j'ai aimé ton texte de soleils éblouissants, d'armes ruisselantes, ta "couche d’ozone aspirant les glaciers"... | |
= Anthologie | felipe, Da Islanera [12.Jan.05 16:03] |
Bonjour à vous (Nicole, Lucia) " Le papier, la table, le soleil, la plume.../ À côté, la fenêtre. Et je ne possède rien/ et je ne suis rien de ce que j'écris. Et je n'attends rien/ de tout ce que j'attends. (...) Je ne veux pas attendre,/ je ne veux pas voguer sur le doux océan des mots./ Je ne veux cheminer qu'avec le corps que je suis... " Antonio Ramos Rosa. http://www.lelibraire.com/din/tit.php?Id=17966 | |
= Philippe | lucia sotirova [12.Jan.05 17:58] |
la poésie portugaise - ce mélange de saudade et de fado - est toujours douloureuse. oui, il serait mieux de vivre que d'écrire... (sourire, un peu triste...) je suis tombée amoureuse d'Antonio Ramos Rosa et j'irai le lire en portugais. merci à toi... | |
= ... | Sonia S [25.Jun.05 19:46] |
Des phrases fluides...Glissant sur les flots symboliques. Celle-ci me suivra longtemps... "Peut-être que Baudelaire avec ses images surdimensionnées « ses ailes de géant » voulait signifier des déchirures dans la voilure de son parachute sémantique ?" | |