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Joyeuses fêtes !
article [ Création ]

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par [NMP ]

2004-12-28  |     | 



A vous toutes et à vous tous que je lis sur Agonia,
je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année !



Je cache dans mon coeur
le nom de l'illusion,
car je n'ai pas la force
de le prononcer -
il brisera le miroir
qui me protège de moi-même
et puis deviendra
silence à jamais.
(Ton nom par Lucia Sotirova)

Il me suffit que tu existes pour être rassasié,
Il te suffit de vivre pour m'enrichir d'éternité.
(...)
Tu m'offres le présent,
Trésor à prendre sous la mer.
Tu m'offres une nouvelle enfance,
Un nouvel âge d'or
Où les mots sont silence
Et tes yeux le miroir
Où je me reconnais.
(Le silence est en nous comme un feu qui ne s'éteint jamais(2)par Bernard Fournier)

puis ce rêve continue
à rêver (...)
sans moi
pour ne pas écraser
l'épaule du sommeil
en une poussière de matins
(Ce rêve continue à se rêver par Marlena Braester)

Je voudrais écrire
sur le grand livre
de la vie
les mots tracés
A l'encre
des passions .
(Je voudrais par Alain Le Roux)

Un dimanche de la vie,
à midi,
la tendresse touche
d'une main tremblante
la larme-aveu.
Etonné,
tu t'arrêtes et
l'arrêtes.
(Déclaration par Clava Ghirca)

Silence. Un silence total. On n’entendait même pas voler une mouche. Le camarade ému me jette un regard complice et à ce moment-la je l’ai senti me prendre par la main. Il me regarda droit dans les yeux pendant quelques secondes et je me suis arrêtée. Comme maintenant, aussi, parce que ce regard je le vois clairement et toujours je me le rappelle clairement. C’est alors que j’ai ressenti comme une perte matérielle : son regard m’a volé quelque chose, que je ne peux pas préciser...
(Journal d'un souvenir par Jemna Ramona Laura: Mony)

Dès que tu sens les ténèbres
Dans une mer pleine d’affection,
Un voyage miraculeux commence.
Le temps devient son ami proche.
(Voyage miraculeux par Yohanes Manhitu)

si j’étais vent au moins un jour…

avec une main j’écarterais les nuages
avec l’autre main j’embrasserais les aubes
(...)
susurrant et sifflant
je m’élèverais vers l’infini
en disparaissant et en renaissant…

je donnerais.

(Si j'étais vent... par Rodica-Hera Chiriac)

Sois vent alors et le désert sera ta Vérité
car le désert égorge les ténèbres en cécité
Là tu as une lampe et une cible authentiques
car aujourd'hui tu es prophète pour ces oasis énigmatiques.
(Eglogue au désert par Aziz Yadine)

Je ne souhaite à personne de quitter notre mirifique parterre
Si chacun veut s’en donner la peine les couchants seront beaux
Les levants nous garantiront une paisible et légitime vie de paix
Pour que chacun demain puisse dans la solidarité vivre sa terre
(Vivre sa terre par Erika Nargil)

... Je reste fidèle ...
A mes anciennes amitiés
Et malgré l'écoulement du temps
Des eaux diluviennes des fleuves
Le départ inaperçu des uns
La perte de repère des autres
J'enjambe toujours la même passerelle
(Fidèle amitié par Kacem Loubay)

Elle devina dans la nuit les yeux levés vers elle dans une prière muette.
« - Que fais-tu là, il est tard et je n’ai pas de bonbons aujourd’hui, j’ai oublié. Ca sera pour demain. »En effleurant les cheveux sombres et frisés elle murmura « - rentre chez toi, mon enfant, rentre chez toi » et se perdit dans le noir de l’entrée (...)
« - Copila asta, si elle naissait sous une autre étoile et à un autre point de cette terre, elle aurait pu prétendre peut-être à une vie dorée (...)
Mais après tout, qui sait si sa destinée ne lui réserve pas beaucoup plus.
(Romica par Maria-Magdalena Zahner)

Soudain tu réalises: Ce monde, (tu le croyais devenu à ce point minuscule dans le flux des ondes), redevient plus vaste que tu ne peux comprendre, s’échappe de l’entendement. Tu devines qu’en toi se réconcilie l’espace, ses distorsions laminées, alchimiste des alliages des découvertes et des effondrements, givre et étincelles.
(Relier par Felipe Da Islanera)

toi
tu nous peins sur une toile transparente jusqu’à l'aube
dans le poème naissant
du Cantique des Cantiques
(Poème des Cantiques par Laurentiu Aioanei)

Mais aujourd'hui,
aujourd'hui
quelque chose s'est passé,
quelque chose qui m'a fait
penser.

Aujourd'hui
j'ai entendu
le silence
de l'autre
de l'au-delà.
(Ces murs par Ioana Stefanescu-Bogdan)

Alors débute la danse

Aucun pas n'est à codifier
l'Amour sait ses enfants guider

Sur son visage la volupté
sentir ses forces se décupler

Les pas enchaîner
et s'abandonner

car se donner
C'est l'Art d'Aimer
(S'unir par Dominique Pichon)

Je serai très bientôt de retour,
C’est ma seule bouée de secours
Mais déjà mon âme égare les contours
De ton corps, tandis que sans détour
La voie ferrée poursuit sa route sans recours.
Je songe à toi et fidèles les images accourent.
(Le coeur éponyme par Cyrian Sorel)

Enlacée à la transe du tango
la rue se consume
picturale
pigments de couleurs
des ruelles
les rouges mêlés aux bleus
l’ombre milongua
rythment les pas des danseurs
(San Telmo dans les ruelles par Cécile Guivarch)

tu n’es plus la simpliste
qui trouble mon oeil étroit
et le décor absent lorsque
le monde danse
le tango
parmi les tables au
vin blanc et rouge
sur le rytme de la radio fatiguée
(...)
et je connais très bien
l’âme trop pleine pour
des activités dépourvues de sens
et je ne peux pas
te sentir
tout près lorsque
tu n’es plus
(Dépression 10 par Gelu Vlasin)

Entre tes rêves et mes rêves,
Dans mes mains, ton corps s'effondre,
Sur mes doigts, ton désaccord m'affronte.
(Pour jamais par Arnaud)

Mon corps altier et fier, dans la nuit qui soupire,
S’alanguissait soudain, meurtri de sa douleur ;
Jusqu’à la folle étreinte où portait le délire,

Où je n’étais plus moi, sous le joug modeleur
De votre corps et moi, pétris comme les glaises.
Mon âme s’envolait rencontrer votre ampleur
(Camille Claudel par Cécile Verhaever)

Rendez-moi mon village là-bas près de la mer
Où fleurit la fleur bleue du citronnier vermeil
En plein hiver et rendez-moi toutes les merveilles
Du soir et de cette rue étroite entre Ses chairs.
("tamo daleko…" par Raoul Weiss)

j'ai vraiment envie de voler

d'ouvrir mes ailes et d'embrasser les âmes des gens
d'embrasser leurs douleurs et leurs chagrins
de comprendre leur sourire et leurs yeux tristes
de sentir la hâte et l'envie de vivre...
(Le non-besoin d'ailes par Ioana Suciu)

de temps en temps
les gestes se dédoublaient
les arabesques de l’air
se désynchronisaient
et je ne savais plus
s'il n'essayait pas lui non plus d’échapper
à ses cauchemars
et aux ombres
(Bref monologue sur l’ange par Marina Nicolaev)

Ange, mon ange,
Tu voles à travers moi en boîtant
Et tu te couvres les yeux de ton aile
Pour ne pas voir le ciel rouge
Qui se débat entre mes côtes
Et saigne.
(Ange par Paul Bogdan)

solitude –
cœurs sans amour
bruissement sur le trottoir
(Automne par Dara Blu)

Alors traqué
Je vais courir jusqu'à la fin du monde
En mangeant mes proches
Pour leur lécher les péchés.
(Conte par Cris Anghel)

Avec ton âme et le désir que je le sente,
je te dénomme frontière renforcée entre
la vie et la mort,
(...)
et tu ne penses même pas que je suis un écran vide,
une dimension abstraite,
un cadre unidimensionnel - donc sans appui,
vibration linéaire,
une inquiétude continue et infinie quelque part.
(La frontière de l’ouest par Claudiu Dobre)

le blanc et le noir se confondent chaotiquement dans les contours de l`ombre,
les paumes perdent leur raison à force de jouer des rôles sur les murs –
il y a encore seulement mille et quelques éclats de flammes
de ton toucher
(Poème de saison capricieux par Cristina Hasse)

il restait dehors au-delà de la fenêtre
regardant entre deux la graine qui poussait
s'ondulait déformée contre des murs ondulés
cristallin d'un angle objectif
(La Pomme par Ioana Barac Grigore)

Le bonheur m'enferme dans ses bras,
Parce qu’un autre sourire arrivera
Et il se posera sur les lèvres
Du passé.
(Bonheur par Diana Pacuraru)

nous nageons dans l’espace vert de l’amour
tu t’en vas loin de moi
je m'en vais en me retournant vers toi
comme deux bateaux d'émeraude entre les mêmes ports
nous cinglons sur l’infini entre nous
(Les massifs de larmes par Mihaela Maxim)

Avec la terre qui se dérobe
Avec les fleuves qui débordent
Avec le vent qui vous envole
Les toits les tôles et les bagnoles
Avec la terre qui engloutit
Vallées forêts et paradis.
(...)
Notre péché je l’ai trouvé
C’est l’amour qu’on a oublié.
(Planète 3000 par Jean-Jasques Boquet)

Donnons-lui de la liberté à boire et de la vérité à manger,
Pansons ses blessures avec la beauté de nos sourires,
Laissons-le se reposer dans nos âmes.
Lorsqu'il sera sûr que l'arbre de l'amitié pousse en nous
Il s'envolera de nouveau
(L'oiseau de la paix par Veaceslav Munteanu)

Le Tout est en nous et nous sommes dans le Tout
Et Dieu nous bénit par Son amour.
Pourquoi nous blottir sous la terre
En nous cachant dans l'éphémère ?
(Poèmes pour le retour du Petit Prince (6) par Marina Samoila)

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