Les commentaires des membres:

 =  Avis demandés pour modifications
Gonzalez Valérie
[24.Nov.06 12:57]
Légères, sur les deux derniers paragraphes:

Il est des puits vérité, profonds
Qui drainent le temps que les ombres saignent
La main qui s’y risque hésite, se signe
La vie se souvient, dans les reflets
L’émotion naît et les mots s’humanisent

Il est des geysers balise, flamboyants
Qui éclairent tout autant que la foudre crépite
Les yeux qui les regardent voient, s’émeuvent
L’amour croît, dans le coeur
Le jour irradie les parois et la joie respire.

Merci de me dire quelle version vous préférez
Que je le mette à jour. Moi je me sens mieux dans la seconde...

 =  Hello Valérie
Nicole Pottier
[24.Nov.06 15:03]
La différence est notable.
"les puits vérité forts" se heurtent à la prononciation.
Ecrire un poème, oui, mais il faut le dire, et puis l'écouter et alors parfois on entend...ce que le poème dit à son tour. Ce conseil, je le donne souvent, l'espagnol est une langue reine pour la langue parlée, le français est bien plus atténué, mais cependant, c'est une étape indispensable.
*
par contre, "les yeux qui les regardent, voient"..... ma foi, c'est tellement évident: regarder et voir, qu'en penses-tu ? heureusement l'action arrive : ils s'émeuvent. mieux vaut éviter la répétition regarder-voir.
"les puits vérité profonds" ça rappelle évidemment quelque chose... :) et puis l'alitération en "p" est douce et coule....
"se laisser prendre" et "hésiter", là aussi, la nuance est de taille, de plus, le registre change. Premièrement, un champ lexical de chasse (à l'homme), de faire prisonnier et d'exécuter - je pense au vers "que les ombres saignent"-
*
"dans la peau" souligne le topique physique et géographique de l'être humain pris au piège
"ardents" et "flamboyants": ça brûle ! ça ne flamboie pas. "ardents" est bien plus fort en sens, il prédomine. Regarde bien la suite : "ça irradie" . La métaphore file.... elle s'enrichit. Bien sûr, les deux métaphores sont conjointes : feu et lumière. mais il me semble que la lumière est encadrée par la chaleur, par le feu:
geysers ardents / éclairent (les yeux) / foudre crépite
pour mener au final qui "irradie" (et non pas illumine )le jour, c'est à dire la Vie.
tu peux également faire appel à la ponctuation , qu'il soit plus lisible et pour marquer le balancement du poème:
des sources-fantôme
(des fontaines de Jouvence)
des puits-vérité
des geysers-balise
tu soulignes ainsi l'antynomie pluriel - singulier
*
un beau poème avec de nombreux éléments que tu peux en effet remanier, mais ne change pas trop...
:)

 =  version définitive
Gonzalez Valérie
[24.Nov.06 17:14]
Merci d'avoir pris le temps Nicole
A l'éclairage de tes conseils et dans l'idée de ce que je veux faire passer, je me suis mise d'accord sur une version définitive.
J'espère qu'elle plaira tout autant
Je vais de ce pas modifier mon texte
Encore merci
Valérie

 =  ?
Gonzalez Valérie
[02.Dec.06 13:28]
Il ne peut plus faire parti des textes recommandés ainsi?

 =  textes recommandés
Nicole Pottier
[02.Dec.06 14:59]
ah... tu l'as édité pour le modifier, en ce cas, il sort des textes recommandés. c'est le système qui est ainsi, il suffit de me le faire remarquer, je le remets donc dans les textes recommandés.
Agonia est un vaste site, il se peut qu'il y ait des problèmes de (dis)fonctionnement , il ne faut pas hésiter à adresser un courrier pour avoir l'explication correspondante.
*
plus : mea culpa pour la faute "allitération" dans le commentaire précédent, mais le temps imparti pour l'élaboration était écoulé, et prise de hâte, je n'ai pas relu, ce qui l'a rendu assez confus dans sa forme, mais aussi dans le fond.
:)




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