| = à retravailler | Dolcu Emilia [03.Apr.12 14:10] |
| Je ne sais pas à quoi « nues semelles » fait référence, d’autant que la semelle de chaussure, si de cette semelle il est question, n’est pas nue ou couverte. Je ne perçois pas donc pas très bien le vers «tourner la montre des nues semelles sans clef » Au lieu de « Tourne-moi/de l’autre partie/de la sablier -/pour ne pas s’incliner l’axe de la Terre//à cause d’amour » tu peux dire « Tourne-moi/de l’autre côté/du sablier -/pour que l’axe de la Terre ne s’incline pas /de tant d’amour » . Mais commed’autre part c’est le sablier qu’on retourne, le lien entre le sablier, l’amour et le « moi » du poème m’échappe complètement. La troisième stophe aussi demande des corrections, dont la plus importante doit porter sur le vers « je peux prendre ton pied » qui un peu hilare. | |
| = correction | olga alexandra diaconu [03.Apr.12 16:16] |
| C'est bien si je dis "de nues plantes?" Nues plantes suggère la vulnerabilité de l'être humain.Tourner sans clef Le lien entre le sablier, l'amour et le "moi" est même le temps, nous vivons dans le temps sur la terre. Sortir en dehor du temps signifie sortir en dehors de la douleur. Prendre le pied signifie trouver la vulnérabilité comme dans la légende d'Ahile conformément au titre de la poésie. Merci, Madame Emilia Dolcu. | |
| = encore | Dolcu Emilia [03.Apr.12 16:15] |
| La forme des verbes ne permet pas de savoir s’il s’agit de l’impératif ou de l’indicatif dans les vers suivants « ris et m’appelle/et n’as pas peur”. Si tu utilises l’impératif, tu dois écrire « et n’aie pas peur ». Si par contre c’est à l’indicatif que tu as pensé, tu dois mettre « tu ris et tu m’appelles ». Et tu n’es toujours pas revenue sur le vers « je peux prendre ton pied ». Rien de tel dans la légende. Je pense que c’est toujours l’expression de l’idée qui pose problème. Cherche encore ! Pour finir, écris ACHILLE! | |