| + "le paradoxe est loi Pour les faux et mauvais comptes" | Ottilia Ardeleanu [16.Oct.11 13:31] |
| sentiment vif de la douleur, de l'incertitude, de la déception, "Ce grand amour à attendre", "Cette patrie dont j'ai rêvé"! de nouveau, je veux remarquer la voix poétique, le courage d'exprimer les sentiments les plus véritables d'une manière originale, d'un style que j'admire. et pour cela, je vous offre de tout coeur, une étoile. Ottilia Ardeleanu | |
| + tout comme | Dolcu Emilia [16.Oct.11 14:16] |
| Il se passe quelque chose dans vos derniers poèmes. C’est comme si on y entendait une voix nouvelle. Et l’expression, plus directe, qui va avec ! Et tout comme Ottilia avant moi, je remarque « les faux et les mauvais comptes » Et je remarque aussi « notre espoir cafardeux » et « notre espoir idiot » et tout ce qui, poétiquement, se passe dans le passage de l’un à l’autre et qui culmine avec « les faux et les mauvais comptes ». | |
| + courage | Daniel Gherasim [16.Oct.11 22:03] |
| Bien sur, il faut du courage pour commenter après ces deux dames qui l'ont fait si bien... Mais bon, je vais essayer de dire au moins quelques mots. La première strophe nous avertit, nous dit une chose sur le caractère de cet amour à attendre: qu'il est infinit temporellement. (voir les mots longtemps et toujours; meme s'ils ne sont pas directement attribués à l'amour, ils expriment cette idée.) La meme chose pour les strophes deux et trois: à l'aide des mots loin et horizon, on peut comprendre le caractère infinit, du point de vue spatial cette fois-ci, de l'amour. L'image de la personne aimée vue comme panacée dans la dernière strophe est magnifique. que tu sois la chanson / A fredonner pour se consoler. Finalement, on peut dire que cet amour est vraiment digne à attendre. Mes félicitations. Daniel. | |